14 Octobre 2018
LE POINT DE DEPART
ACCEPTATION
Vous avez un symptôme diagnostiqué par un médecin. Que vous le considériez comme le résultat d'un accident, d'un microbe, ou simplement de la malchance, vous avez quelque chose à gérer, quelque chose à comprendre, quelque chose à faire.
Le diagnostic d'un symptôme, en particulier celui qui est considéré comme potentiellement mortel, peut provoquer un choc et faire surgir de nombreuses émotions fortes chez la personne concernée. Avant toute prise de décision sur la façon de procéder, la première étape devrait être l'acceptation émotionnelle de l'existence des symptômes.
L'acceptation n'est pas du défaitisme. Admettre ne signifie pas que l'on accepte les suites logiques du diagnostic. L'acceptation émotionnelle de l'existence du symptôme et donc de la maladie donne simplement un point de départ à partir duquel l'on peut décider de ce que l'on veut faire. Le symptôme existe. Il a été diagnostiqué par des professionnels sur le plan physique. C'est un fait. La personne a reçu un avis médical fondé sur les résultats d'un examen physique. Il est important d'accepter émotionnellement le diagnostic qui décrit l'état du corps physique à un moment donné. Il est également important de comprendre que le "pronostic médical" est une "opinion " basée sur le diagnostic ainsi que les "protocoles" qui sont mis en place.
Si le corps médical s'accorde sur le "pronostic", sur les évolutions éventuelles, la personne concernée doit clairement assimiler cette information. Elle doit accepter que tout ce que les médecins prévoient est une possibilité, même la mort ou le handicap. Par exemple, lorsque l'on accepte la possibilité de sa propre mort, l'on peut vivre pleinement le moment présent.
Les personnes qui travaillent en pleine conscience affirment que lorsque l'on met certaines images dans la conscience, l'on augmente la probabilité qu'elles se réalisent. Si l'on a peur de quelque chose, l'on met continuellement dans sa conscience des images négatives basées sur le futur et l'on n'arrive plus à vivre dans le présent. C'est le serpent qui se mord la queue.
Si l'on a peur du pronostic, l'on maintient cette image dans la conscience de ce qui pourrait arriver, et selon la dynamique de la conscience, l'on augmente la possibilité que l'issue "négative" se confirme. Si l'on a peur d'entendre l'avis du médecin sur ce qui pourrait effectivement se produire, l'on doit faire quelque chose pour entendre cette parole et se libérer de cette peur.
Lorsque l'on a émotionnellement accepté la possibilité que ce que l'on craint puisse effectivement se produire, cette peur se dissout. L'on peut alors se focaliser plus facilement sur ce que l'on veut voir arriver, en maintenant cette nouvelle image dans la conscience. L'on est alors au clair avec le symptôme et le diagnostic.
La suite vous appartient, c'est votre décision.
Vous pouvez alors choisir de suivre uniquement la méthode médicale traditionnelle en travaillant avec les conseils, opérations et traitements suggérés par les médecins. Vous pouvez aussi décider de travailler par complémentairement avec des méthodes alternatives en utilisant ce qui a sens pour vous, ce qui vous fait sentir bien.
Il est important de comprendre que le symptôme n'est pas le problème - c'est un symptôme du problème, une indication de l'existence de quelque chose d'autre. Du point de vue médical, il s'agit d'un signe ou d'une indication d'un trouble ou d'une maladie, mais le symptôme peut également être vu comme un signe de tensions dans la conscience qui fournissent l'environnement dans lequel le trouble ou la maladie peut exister et qui peuvent alors être considérés comme la cause intérieure.
LA CAUSE INTERIEURE
POURQUOI CE SYMPTOME - MANIFESTAIONS
Quoi que l'on décide d'entreprendre pour soulager les symptômes, que l'on choisisse uniquement la médecine traditionnelle, que l'on souhaite la compléter par l'utilisation de techniques holistiques ( en Energétique comme la lithothérapie ou le Reiki, en relation d'aide comme la psychologie clinique, en Sophrologie), il est également intéressant de considérer pourquoi et comment les symptômes se sont manifestés.
Lorsque nous parlons des causes des symptômes physiques, nombreux sont ceux qui ne pensent qu'aux causes physiques. Nous comprenons naturellement que les symptômes se manifestent dans la réalité physique, à travers les accidents, les blessures, les micro-organismes, etc. Cependant, il est aussi important de comprendre que les symptômes ne seraient pas manifestés si les conditions adéquates n'avaient été présentes dans la conscience.
Par exemple: le comportement désigné type "A" est un profil de personnalité qui est associé avec les maladies cardiaques. Ainsi, il existe une corrélation statistiquement significative entre les personnes ayant un comportement de type "A" et celles qui développent une maladie cardiaque. En d'autres termes, les personnes ayant le comportement de type "A" sont considérées comme plus susceptibles de développer des maladies cardiaques. Nous pouvons dire que le comportement de type "A" est une personnalité associée aux troubles cardiaques. Quelle que soit la cause physique des maladies cardiaques, il est reconnu que ce type de personnalité est un élément cohérent.
"La personnalité de type A a été définie par Meyer Friedman et Ray Rosenmann en 1959 comme une conduite caractérisée par une hyperactivité, un sentiment d'urgence, un énervement facile, ou un hyper-investissement professionnel. L'individu au comportement de type A se caractérise par le besoin de contrôler son environnement afin de réduire son incertitude1. Ces attitudes augmentent les risques de vivre des conflits interpersonnels. Souvent, il place la barre haut : il a des exigences élevées tout en manifestant un sens de l'autocritique très poussé envers ses accomplissements. On dénote des attentes irréalistes de perfection incompatibles avec le droit à l'erreur. Ces sujets semblent avoir un risque de maladies cardio-vasculaires (notamment l'insuffisance coronarienne avec un risque d'infarctus du myocarde) multiplié par deux par rapport aux personnalités normales. Le risque est plus élevé s'il y a une coexistence avec d'autres facteurs de risque tels que le tabagisme, l'hypertension artérielle, l'obésité, etc."
La façon d'être associé aux symptômes n'est pas "ce que l'on est", mais plutôt une manière d'être que l'on a adoptée à la suite de décisions que l'on a prise en réponse à des évènements de sa vie. L'on peut bien entendu revenir à "ce que l'on est", une fois les tensions relâchées.
Les symptômes sur le plan physique reflètent des tensions dans notre conscience par rapport à quelque chose qui se passait dans notre vie au moment où les symptômes ont commencé.
L'on a pris des décisions en réponse aux conditions de sa vie à ce moment-là, décisions qui nous ont laissé avec du stress et qui ont encouragé une façon d'être en corrélation avec les symptômes. Ainsi, on peut dire que la manière d'être qui a été adoptée a nourri les symptômes et ce de façon indépendante des causes apparentes sur le plan physique. Si l'on avait un comportement stressé qui a abouti à des symptômes physiques, il est important de souligner encore une fois que cette manière d'être n'est pas ce que l'on est vraiment, mais juste un reflet de la façon dont on a choisi de répondre aux conditions qui nous entouraient. Nous aurions pu faire des choix différents. On a toujours le choix.
Peu importent les méthodes que l'on choisit d'utiliser pour traiter ou se libérer des symptômes, l'on peut également décider d'abandonner le comportement de stress associé aux symptômes. Ce comportement de stress peut être considéré comme le cause intérieure des symptômes. Si les décisions prises ont abouti à un comportement stressé, si l'on a crée un profil de personnalité associé aux symptômes, il est possible de se libérer. L'on peut changer d'avis sur quelque chose et interagir avec son environnement de façon différente qui n'est pas autant stressée, reflétant ainsi que l'on est vraiment. En laissant partir le stress et le comportement qui va avec (la cause intérieure), l'on peut être sûr que les symptômes auront tendance à s'estomper.
De cette façon, le processus de guérison implique un processus de transformation, une libération d'un comportement qui n'est pas "soi" et un retour vers le vrai "moi".
TOUT COMMENCE DANS SA CONSCIENCE
Regardons ce que cela signifie. On est à l'intérieur de son corps, regardant par nos yeux, écoutant par nos oreilles ce qui se passe autour de nous. C'est nous qui décidons quoi penser, quoi ressentir et comment répondre à ces sollicitations.
Le "vous" qui prend les décisions est ce que l'on appelle la conscience. La façon dont on choisit de répondre - et il y a toujours le choix - peut te laisser en équilibre ou avec du stress. Quand la réponse engendre du stress, l'on est en déséquilibre dans sa conscience. Il y a une tension au sujet de ce qui se passe à ce moment là.
Si la tension atteint un certain niveau d'intensité, elle peut engendrer un symptôme sur le plan physique, boule au ventre par exemple. Le symptôme parle un langage et ce langage reflète l'idée que nous créons notre réalité.
NOUS CREONS NOTRE REALITE
Les symptômes sont aussi le résultat du stress. Lorsque nous explorons la cause intérieure du symptôme, nous constatons que nous avons crée des symptômes par la manière stressée avec laquelle nous avons choisi de répondre.
Quand nous disons que nous avons crée le symptôme, cela ne signifie pas que nous avons consciemment choisir d'avoir tel ou tel symptôme mais plutôt que ces nouveaux symptômes sont la conclusion logique de pensées et d'émotions particulières.
Ce n'est pas quelque chose dont il faut se sentir coupable, mais que l'on doit voir comme un processus logique, afin de choisir de prendre des décisions différentes, en adoptant des pensées et des émotions différentes, des perceptions différentes qui servent à se libérer. Si les symptômes ont servi à nous transmettre un message et que nous avons compris ce message et que nous avons réagi en conséquence, alors ces symptômes n'ont plus lieu d'être. En effet, nous avons intégré les symptômes dans notre conscience. Nous avons participé ainsi au processus de deuil indispensable.
LA RELATION CORPS-ESPRIT
LE SYSTEME HUMAIN
Tout humain a un guide intérieur qui nous oriente et que l'on appelle intuition ou instinct. Ils parlent un langage simple, soit l'on est bien, soit l'on est pas bien.
Si l'on écoute cette voix intérieure (acceptation), l'on est sur la voix du succès et de l'accomplissement. Faites ce qui fait se sentir bien, Faites ce qui semble juste. L'on peut se demander "Comment je me sens si je vais dans telle direction?", "Comment je me sens si je vais dans cette autre direction?".
Si pour une raison quelconque l'on décide de prendre la direction de la résistance ("Je dois être sûr" "les gens disent que"), la voix intérieure doit parler plus fort.
Le niveau émotionnel est le niveau suivant de communication. Si l'on va dans la direction de la résistance, l'on sentira de plus en plus d'émotions désagréables. Si l'on persiste dans cette voie, l'on verra apparaître des symptômes physiques.
Le symptôme sur le plan physique se manifeste dans la réalité physique. Ainsi, il a servi à nous communiquer quelque chose sur une tension non résolue dans notre conscience.
L'HOMME EST UN SYSTEME ENERGETIQUE
Notre conscience, notre expérience de vie, qui l'on est vraiment est "énergie de vie". Cette énergie ne vit seulement dans le cerveau. Elle emplit tout notre corps. La conscience est reliée à chaque cellule du corps. A travers notre conscience, l'on peut communiquer avec chaque organe et tissu. Un certain nombre de thérapies sont basées sur cette communication.
On peut mesurer cette énergie grâce au procédé dit photographie Kilian. Si l'on prend une photographie Kilian de ses mains, elle montre une certaine structure d'énergie. Ce procédé permet de déceler des "trous" dans certaines parties du champ d'énergie. Ils correspondent à des faiblesses particulières à certains endroits.
Ainsi un changement de conscience crée un changement dans le champ d'énergie qui lui même provoque un changement sur le plan physique. Si l'on prend une décision qui provoque du stress, la conscience est affectée et donc le champ d'énergie aussi. Lorsque la tension augmente jusqu'à une certaine intensité, c'est le corps physique qui est touché. L'inverse est vrai également.
Même lorsque le symptôme est libéré par la médecine classique, nous rééquilibrons notre conscience, donc les énergies et par voie de conséquence nous nous libérons du symptôme.
Quoiqu'il en soit, nous serons plus heureux car libérés de certaines tensions. Bien sûr, si l'on travaille avec des méthodes alternatives ou complémentaires, l'on accepte en pleine conscience que la libération des symptômes peut se produire par ces autres moyens à l'aide plantes médicinales, d'un travail énergétique ou d'outils de développement personnel.
Il faut travailler avec ce qui raisonne en soi car toutes les méthodes fonctionnent.
LE CORPS EST UNE CARTE DE LA CONSCIENCE
Les tensions et déséquilibres dans le corps physique reflètent des tensions dans la conscience par rapport à ce qui se passe dans sa vie. Il est possible d'évaluer ce processus. Des symptômes spécifiques sont liés à des tensions spécifiques que nous pouvons interpréter comme la cause intérieure du symptôme. Pour comprendre la cause intérieure on regarde le corps comme une carte. La clé pour lire cette carte est la compréhension des centres énergétiques appelés "chakras".
Les chakras régulent le flux énergétique à travers le système énergétique dont nous sommes composés. Chez un individu en bonne santé, l'énergie circule librement. Lorsque l'on prend une décision qui nous stresse, nous bloquons le flux d'énergie. Elle ne circule plus librement. Lorsque la tension atteint un certain degré d'intensité, les symptômes physiques apparaissent. Ainsi, l'on peut dire que certains symptômes physiques peuvent être considérés comme de l'énergie bloquée.
Rétablir le flux d'énergie peut être accompli par différentes techniques comme le Reiki ou la Lithothérapie.